Le passage à l’électrique implique un investissement moral important. Que ce soit dans le contexte d’une politique de RSE clairement affirmée ou en tant que geste plus ponctuel, la transition vers le tout électrique a des répercussions positives incontestables sur le bilan environnemental du parc automobile.

Plus de 90% des émissions de GES provenant des moyens de transport sont issues du trafic automobile. Par conséquent, on comprend aisément que la mobilité électrique a un impact positif sur l’environnement.

Par conséquent, on comprend aisément que la mobilité électrique a un impact positif sur l’environnement. Bien que les études sur le sujet offrent des données assez différentes, il est clair que la conduite d’une voiture électrique émet beaucoup moins de CO2 et de particules fines que la conduite d’un véhicule à moteur thermique (moteurs diesel, GPL et essence). Opter pour un mode de mobilité électrique est par conséquent, pour un responsable de parc automobile, un progrès réel vers un schéma plus écologique.

2 – Se conformer et même devancer, la réglementation sur les émissions des véhicules

Que ce soit au sein de l’Union européenne ou au sein du gouvernement français, les actions relatives aux rejets de CO2 émis par un véhicule se sont multipliées et sont devenues plus drastiques. A titre illustratif, le malus écologique s’applique en 2021 aux véhicules émettant au moins 133 g de CO2/km, soit 5 grammes de moins qu’en 2020. Choisir une solution de parc auto électrique représente alors une solution clé en main pour adopter une conduite propre.

En même temps, le Conseil européen a voté le règlement prévoyant que les immatriculations de nouveaux véhicules doivent respecter une limite de 95 g de CO2/km avant 2030. En 2035, la construction de véhicules thermiques sera interdit. Même si cela ne signifie pas que les véhicules d’occasion, qui émettent plus de dioxyde de carbone, continueront à rouler, il convient plutôt de « prévenir que guérir ».